Francine Benoist, candidate PS, première circonscription du Jura

Ensemble avec Francine BENOIST

Jeannine, 68 ans, retraitée, Ruffey-sur-Seille

« Pour vous aider à choisir votre Députée, voici quelques positions claires. Francine BENOIST n’aura qu’un mandat, elle consacrera donc plus de temps à l’écoute et à la réflexion des problèmes économiques et sociaux, de plus en plus nombreux dans notre Jura. Elle aura un seul langage et donc le même vote à Lons et à Paris. Elle aura enfin, un unique engagement au service de tous quelque soit vos opinions politiques. »

Eddy Lacroix, 23 ans, infirmier à l’Education nationale, Plainoiseau

« J’ai décidé d’apporter mon soutien à Francine BENOIST pour ses convictions socialistes fortes, engagées et surtout sa volonté de donner un souffle nouveau à la politique notamment pour son opposition ferme au cumul des mandats. Son attachement constant aux valeurs humaines, au respect et à l’égalité de chacun, en fait une femme politique libre, de grandes valeurs. Chaleureuse, disponible, à l’écoute de l’autre dans le respect de ses différences et de sa culture ; ces qualités feront d’elle une Députée proche des personnes et soucieuse de leurs difficultés au quotidien. »

Santé et sécurité sociale

Jean, 83 ans, retraité, Fétigny

« Après avoir subi de lourdes pathologies depuis l’âge de 24 ans, j’affirme que si je suis encore en vie, c’est grâce à un système de santé et une sécurité sociale exceptionnels qui pourtant se sont dégradés. C’est pour cela qu’il faut se battre pour les garder, les développer et les mettre à la portée de tous ! »

Culture et émancipation

Huguette, 55 ans, Lons

« Lédonienne depuis de longues années, je suis stupéfaite de constater  le retard et le manque d' empressement quand à l'implantation d'une médiathèque dans notre ville, quand des communes plus petites ont  privilégié ce fabuleux outil de communication de connaissances diverses depuis quelques années ! La preuve est donnée du peu d’intérêt que notre municipalité accorde à ce domaine en particulier, quand nous considérons notre vétuste bibliothèque, dont nous devons nous contenter.»

Stéphane, 20 ans, Lons

« Je suis originaire de Blois, une ville où l’activité culturelle est régulière et soutenue. Lédonien depuis peu, j’ai été frappé en arrivant ici du peu d’offres culturelles proposées et de la pauvreté des lieux de rencontres, de loisirs en direction des jeunes. Il faut que cela change ! »

Retraites et pouvoir d'achat

Rodolfo, 79 ans, retraité, Pannessières

« Après avoir travaillé pendant des dizaines d’années, notamment en tant qu’artisan, voilà que je touche chaque mois une retraite de 517 euros. Mon pouvoir d’achat est faible et a encore chuté ces dernières années avec la hausse de l’électricité, du gaz et de l’eau. Une augmentation immédiate des petites retraites permettrait à beaucoup de personnes âgées de vivre décemment. »

Démocratie sociale et entreprises

Gérard, 56 ans, cadre bancaire, Lons

« Aujourd’hui il y a une sous représentation syndicale dans notre pays, il est temps de promouvoir un syndicalisme de masse et de revoir le financement du syndicalisme. La vie des salariés ne peut être améliorée que par la négociation. »

Marc, 60 ans, libraire à la retraite, Lons

« Ayant exercé ce métier de passion pendant ces dernières années, dans le cadre d’une librairie indépendante, je suis attristé de voir aujourd’hui que tous les jours une librairie ferme ses portes. Le risque de ne plus pouvoir véhiculer les grands courants de pensées et la littérature de qualité se développent donc, à mon grand regret. Il est impératif de maintenir les petits commerces de proximités qui créent de l’emploi et du lien social. »

Jeunesse et droit à l'avenir

Garance, 18 ans, lycéenne, Courbouzon

« Depuis 5 ans, le gouvernement et l’Assemblée nationale mènent une véritable politique de casse et de stigmatisation de la jeunesse. Aujourd’hui, l’avenir des jeunes est de plus en plus menacé, notamment via le démantèlement de l’éducation ; on le voit particulièrement dans le Jura avec, à chaque rentrée, de plus en plus de postes d’enseignants supprimés. Il est donc urgent d’agir sans plus tarder afin de redresser une situation de plus en plus catastrophique. »

Willy, 18 ans, étudiant, Alièze

« Je suis très impliqué dans la vie de mon lycée. J’ai été au CVL et actuellement je suis Président d’une association étudiante. J’ai également participé au mouvement contre le CPE l’an passé avec toute la jeunesse lédonienne. Je me suis mobilisé au sein du mon lycée avec le risque de louper les examens de fin d’année. Mais même en défendant mes valeurs et en luttant contre la précarité, finalement j’ai obtenu mes examens. »

Hélène, 26 ans, agent administratif, Lons

« L’accès au premier emploi pour les jeunes d’aujourd’hui devient de plus en plus difficile. Actuellement, rien ou presque n’est mis en œuvre par les pouvoirs publics pour favoriser à la fois l’embauche et la formation dans des conditions de travail et de salaires décentes. Le débauchage du code du travail force les entreprises à abuser de contrats précaires qu n’encouragent pas les jeunes à se lancer dans la vie active. Il est par ailleurs nécessaire de reconstruire un système de formation universitaire et professionnel accessible à tous. »

Education et enseignement

Nadine, 42 ans, déléguée de parents d’élèves, Ruffey-sur-Seille

« Chaque parent est membre à part entière de la communauté éducative, accompagné des professeurs et des élus qui doivent tout faire pour que l’enfant, l’élève, reste au centre du système éducatif. Ces dernières années, les moyens ont baissé sérieusement : en 4^ème, à Bletterans, on assiste à des classes de 30 élèves. C’est trop pour étudier correctement. C’est là, que l’on voit que pour les législatives aussi, deux conceptions vraiment différentes, deux votes à l’Assemblée nationale peuvent tout changer !

Léa, 30 ans, professeur des écoles, Lons

« Dernièrement, les conditions de travail des enseignants se sont dégradées. Il y a trop d’élèves par classe et trop peu d’enseignants pour les encadrer et accompagner les élèves en difficulté. L’Education nationale a besoin de plus de moyens pour accueillir notamment les élèves handicapés et assurer une éducation de qualité pour chaque élève. »

Monde du travail et pouvoir d'achat

Christine, 52 ans, salariée, Poids-de-Fiolle

 « J’ai vingt ans de boîte. Je suis au SMIC, j’en ai raz le bol. Souvent, les grands patrons s’en mettent plein les poches et nous, nous n’avons que des misères de compensation. Avec une fille à charge et l’inflation régulière, heureusement que je vis avec quelqu’un, sinon je pense que ma situation serait problématique. Même dans le Jura, les problèmes de surendettement commencent à devenir très inquiétants.»

Chantal, 42 ans, salariée, Courlans

« Je travaille dans une entreprise qui fait des profits mais qui n’embauche pas et qui n’investit pas. Je m’inquiète donc de son avenir et du mieux en même temps. Sans investissements, sans innovation, comment envisager l’avenir ? Pourquoi ne pas prendre des risques pour nous garantir toutes les chances ? En tout cas, il faut que les bénéfices profitent à tous ! »

Environnement et écologie

Vincent, 38 ans, militant associatif, Poligny

" J'attends des pouvoirs publics qu'ils se préoccupent réellement des problèmes liés à l'environnement. Le Jura est une région d'exception où la question environnementale doit être traitée avec le plus grand sérieux. Je soutiens fermement l'interdiction des essais d'OGM en plein champ par un moratoire."

Joseph, 20 ans, étudiant, St Laurent la Roche

« Je souhaiterais que le Jura et ses représentants politiques développent enfin un programme en faveur des énergies renouvelables. Le Jura dispose d’un potentiel en bois qui serait intéressant d’exploiter à des fins notamment écologiques. Il serait temps de prendre en compte les défis environnementaux. »

Apprentissage et études

Laura, 17 ans, étudiante en lycée hôtelier, Poligny

« Depuis très jeune déjà, j’ai souhaité me diriger vers une filière professionnelle, où l’apprentissage d’un métier sur le terrain se mêlait avec des études générales. Régulièrement en stage et préparant mon diplôme à la fin de l’année, j’ai déjà remarqué le manque d’encadrement et de rémunération durant mes stages. Je pense, que les filières manuelles et professionnelles, doivent donner envie aux jeunes, notamment par une meilleure reconnaissance de tous. »

Benjamin, 19 ans, étudiant, Commenailles

« Je suis étudiant à Lyon, et je serai toujours surpris du retard pris par le Jura dans le domaine de l’offre à la jeunesse. Après mes études, je ne suis pas certain de pouvoir venir travailler dans le Jura, car les perspectives professionnelles manquent. Nous avons besoin d’un département, plus ouvert, épanoui et moderne. »